Cette étude française parue dans la revue Occupational and Environmental Medicine, s’est intéressée au risque de cancer de la prostate en relation avec le travail de nuit à partir de données de l’étude EPICAP (étude de cas-témoins réalisée en population générale dans le département de l’Hérault entre 2012 et 2014).
Selon les résultats, le travail de nuit, permanent ou alternant, ne semble pas associé au cancer de la prostate MAIS il serait possible qu’une longue période de travail de nuit (> 20 ans) avec des nuits de plus de 10 heures ou plus de 6 nuits consécutives, soit elle associée à une forme agressive du cancer de la prostate.
Source (en anglais)