D’après cette étude menée par l’Inserm pour l’Institut national du cancer, un salarié sur cinq a perdu son emploi cinq ans après le diagnostic d’un cancer. Et plus de 63 % d’anciens malades souffrent de séquelles dues au cancer ou au traitement.
Cette situation concerne davantage les plus vulnérables sur le marché du travail : les moins de 40 ans et les plus de 50, les salariés les moins diplômés, ceux ayant peu d’expérience et qui ont un contrat de travail précaire.
L’institut insiste également sur l’importance des arrêts de travail comme moyen de gérer l’impact de la maladie sur la trajectoire professionnelle.
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