On savait déjà que le manque de sommeil nous encourageait à grignoter mais selon cette récente étude parue dans la revue en ligne bioRxiv, c’est vers les aliments gras et/ou sucrés que nous nous tournons de préférence : mal dormir pousse donc à mal manger.
Mais ce n'est pas tout, puisque cette autre étude, parue dans la revue Clinical Nutrition, semble elle faire le lien entre la malbouffe et l'augmentation du risque de dépression. L'explication tiendrait au fait que les régimes riches en cholestérol, en graisses saturées et en glucides entraîneraient une inflammation chronique du cerveau.
Source (en anglais)
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