Selon cet article paru dans la revue SLEEP et basé sur un échantillon de 5 470 accidents, avoir dormi moins de 7 heures dans les dernières 24 heures augmente le risque d'être impliqué et surtout d'être responsable d'un accident de voiture. Le risque est encore plus grand si la durée du sommeil est inférieure à 4 heures et serait dans ce cas comparable à celui d'une conduite sous l'emprise alcoolique à 1,5 fois le taux légal autorisé.
Cet article vient confirmer une précédente étude de la Sécurité Routière qui faisait de la somnolence le premier facteur de risques des accidents routiers professionnels.
Source (en anglais)